Pour dresser mon mari, le seul sextoy que j’avais eu à utiliser était la cage de chasteté.

Dernièrement, au grès de déambulations sur internet, une américaine présentait sur son site une cage de chasteté permettant de générer à distance une légère décharge électrique sur les petites testicules de nos maris. Tout cela, à partir d’une télécommande. Je venais de trouver le cadeau idéal pour l’anniversaire de mon petit mari.

Le jour J étant arrivé, juste avant que mon mari ne déballe son cadeau, je cachai au préalable la télécommande dans mon sac.

Quand il ouvrit son paquet, je lui présenta le cadeau comme étant une nouvelle cage dans laquelle il devrait se sentir plus à l’aise. Insistant sur le fait, que je tenais avant tout au bien être de mon petit mari.

Je lui demandai donc de baisser son pantalon afin que je puisse moi-même, comme d’habitude, lui retirer sa cage mais cette fois pour en enfiler une nouvelle. Il s’exécuta, tout en semblant être un peu inquiet mais assez excité à la fois. Cette excitation pouvait s’expliquer par le fait que je ne l’avais pas fait jouir depuis maintenant 21 jours, il n’était pas loin de son record.

J’eu quelques difficultés à lui enfiler son nouveau jouet. Sa queue restant constamment en érection, je dûs employer les gros moyens en utilisant des glaçons que je mis dans son caleçon pendant 5 minutes. Le résultat fut efficace, son sexe n’était désormais qu’un petit asticot tout glacé. Cette petitesse contrastait d’ailleurs avec la grosseur de ses testicules que je sentais pleines. Cela m’amusa beaucoup et je ne pus m’empêcher de photographier tout cela.

Une fois la cage mise, je fermai le cadenas et remis la clé autour de mon cou.

• Alors mon chéri, quelles sont tes premières sensations avec cette nouvelle cage ?

• Pour l’instant, ce n’est pas évident, neuf mois avec une même cage cela me change un peu.

• Ok, il n’est pas encore tard si nous allions prendre une glace en terrasse, le fait de marcher dans la rue sera un bon moyen d’apprivoiser ton nouveau joujou mon chéri. Rhabille toi et ne tardons pas.

Arrivés en terrasse, je profitai que mon mari s’absenta deux minutes pour placer la télécommande sous ma cuisse droite afin qu’elle soit très facilement à portée de main.

A son retour, j’orientai volontairement notre conversation sur un sujet que je savais conflictuel, celui du choix de nos prochaines vacances. Il cherchait depuis deux semaine à me convaincre de partir en Ecosse mais cette destination ne me convenait pas, je souhaitais avant tout du soleil.

• Mon chéri, tu sais très qu’avec mes origines berbères, mon besoin de soleil est primordial pour mon moral.

• enfin tu pourrais faire des efforts !

Le ton qu’il employa pour me faire ce reproche m’excéda en tout point, j’attrapai discrètement le télécommande dans ma main, et préparai mon index à appuyer sur le bouton.

• mon chéri, ton comportement est inacceptable, tu sais pourtant quelles sont désormais nos relations. Si j’ai pris la décision de t’éduquer, c’est pour le bien être de notre couple, dresser son mari n’est pas aussi facile que tu le crois, c’est un effort permanent de ma part, tu dois aussi y mettre du sien. Je n’accepte donc pas le ton sur lequel tu me réponds, je suis désolée mais cela ne doit pas rester impuni.

A peine ma dernière syllabe prononcée, je pressai le bouton de la télécommande, ce qui provoqua un rictus ridicule sur son visage. Je compris que cela fonctionnait à merveille.

• Qu’est ce ????

• Mon chéri, ce que tu viens de ressentir est une petite décharge électrique au niveau de tes petites couilles. Voici la télécommande qui me permet de déclencher à distance le courant. Attention, comme je suis très indulgente, j’ai pris la précaution de régler la puissance à son niveau minimal. Désormais cela ne dépend que de toi et de ton comportement de décider du niveau de décharge que je pourrai t’infliger. Alors que penses-tu de ta nouvelle cage ?

• Mais tu aurais dû me prévenir, c’est n’importe quoi !

Ce nouveau reproche était de trop. Je montais la puissance au niveau moyen et déclenchai à nouveau une attaque électrique sur les parties sensibles de mon mari. Ce dernier grimaça à nouveau, posa les mains entre ses jambes, il baissa la tête et prononça doucement quelques mots :

• Je m’excuse mon amour … mon comportement n’a pas été correct

• très bien mon chéri je préfère cela, je crois que cette nouvelle cage va nous permettre de perfectionner encore ton éducation, car tu as encore trop souvent des réactions inappropriées. Il faut vraiment que tu comprennes que ta position dans notre couple est à la base de notre harmonie. En tout cas je suis très heureuse que tu acceptes de partir en Méditerranée cet été.

Pour appuyer mes propos et afin de ne pas lui laisser la moindre hésitation je lui montrai ostentatoirement mon index prêt à effectuer une nouvelle pression sur la télécommande.

• ‘Oui ma chérie’, dit-il ‘ton choix est non discutable je m’occuperai des réservations’.

Cette soirée se termina aussi bien qu’elle avait commencée. Pour lui montrer ma gratitude, il allait ce soir avoir droit à un orgasme complet. Comme un bon petit chien dressé il faut savoir récompenser son homme pour lui faire comprendre que sa maîtresse est satisfaite de son comportement.

A peine rentrés dans notre demeure, je me déshabillai langoureusement devant lui pour ne garder que mes talons. Je lui retirai également tous ses vêtements puis exerçai une pression sur son crâne afin de le mettre à genoux, l’attrapai par les cheveux pour le guider vers ma chatte très humide. il s’employa sur mon clitoris mais j’en voulais plus, je le fis mettre sur le sol puis je m’assis sur son visage afin qu’il enfonce sa langue très habile le plus loin possible au fond de mon vagin. C’étais exquis. Il faut savoir que dans le cadre de l’éducation de mon mari, j'ai fait de gros efforts afin qu’il soit un artiste du cunnilingus. Désormais il sait lécher comme un chat.

Toujours en le laissant au sol, je me retournais pour le laisser désormais s’occuper de mon anus. Il l’embrassa et le lécha. La sensation était divine. J’en profitai pour lui caresser ses testicules que je n’avais jamais vues aussi grosses, j’avais l’impression que sa cage allait exploser. Je jugeai que le temps était venu de le libérer.

Après quelques secondes pour reprendre mes esprits, je me plantai debout devant lui. Je le toisai durant un instant, m’amusai à le caresser les diverses parties de son corps avec mes talons. Je lui aussi mettre mes talons dans sa bouche en faisant des va et viens. Puis je lui demandai de se lever et de me présenter sa queue. Elle semblait n’avoir jamais été aussi à l’étroit dans sa cage. Ses testicules paraissaient énormes, je m’amusai à les faire rouler dans la paume de ma main. Mon mari n’en pouvait, je le sentais très excité.

• Mon chéri, ce soir tu as mérité un orgasme. je sens bien que tes couilles n’attendent que ça. Cependant, cela sera moi seule qui décidera de l’instant exact et de l’endroit. Tu sais très bien que je ne supporterai de te voir ‘décharger’ sans avoir eu mon autorisation.

Je décrochai la clé que j’avais placé autour de mon cou, puis lui retirai doucement sa cage. Son érection était impressionnante, sa queue avait une vigueur incroyable. Je lui fis quelques mouvement de va et vient ce qui renforça sa dureté. J’avais, je pense atteint le maximum de ce qu’il pouvait donner et l’exciter d’avantage l’aurait fait craquer.

J'étais moi même très excitée, j'avais besoin de me faire prendre brusquement, je sentais le désir montait v i o l e m m en t en moi. Je l’amenai dans notre chambre en le tenant par la queue, puis me mis à quatre pattes sur notre lit.

• vas-y mon amour prends ta maîtresse, tu l’as bien mérité

Il se jeta sur moi brusquement et me fit l’amour avec vigueur. Sa queue était exquise. Puis Il stoppa net, m’avoua qu’il ne pouvait pas continuer sinon il ne maîtriserait plus sa queue.

Satisfaite, je lui demandai de se mettre debout devant moi alors que j’étais assise au bord du lit. J’empoignai ses couilles de la main gauche et le branlai de la main droite. Il ne lui fallut que 20 secondes pour libérer un jet puissant et fourni sur mes seins. Après avoir repris ses émotions, il savait que son travail ne s’arrêtait pas là car je l’avais éduqué à toujours nettoyer entièrement sa souillure. Il se mit à genoux et lécha jusqu’à la dernière goutte.

• C’est très bien mon chéri, tu peux aller prendre une douche.

A son retour, je lui présentai les deux cages en mettant en avant la nouvelle avec la télécommande.

• Je trouve ce joujou très intéressant mais je vais le garder pour l’utiliser de manière occasionnelle quand le besoin se fait sentir, notamment pour t’aider à prendre les bonnes décisions comme ce soir. Je te remets donc ton ancienne cage qui te va si bien, approche veux-tu, que je te la mette.

Son zizi était tout rabougri ce qui me permit de lui enfiler sa cage sans difficultés.

• Voilà mon amour, ce soir je suis très fier de toi, cette soirée a été parfaite.

Tout en continuant à le tenir par les couilles d’une main et en lui montrant la cage électrique de l’autre je lui dis avec un sourire narquois :

• au fait, maintenant que nous avons décidé pour nos vacances, il faudra demain que l’on décide pour l’achat de notre nouvelle cuisine !

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